Messenger : bientôt disponible sans Facebook dans le monde

Messenger : bientôt disponible sans Facebook dans le monde

Messenger ? Auparavant, il fallait absolument être membre de Facebook pour y avoir accès. Mais une touche d’innovation a finalement été ajoutée. Chaque utilisateur de Messenger pourra, sous peu, l’utiliser indépendamment de Facebook. En tout cas, pour le moment, quelques pays seulement jouissent déjà de ce privilège, à savoir le Venezuela, le Pérou, le Canada et évidemment les États-Unis.

L’interaction sur mobile bénéficie des avantages pratiques de la discussion instantanée de Facebook grâce à Messenger. En effet, les internautes apprécient nettement plus les discussions privées sur celui-ci. Ils ont la possibilité de se concentrer sur leurs conservations, sans être submergés par les notifications incessantes. Il serait désormais intéressant que Messenger devienne un réseau social à part entière. Malheureusement, nous en sommes encore loin ou… presque proches.

Eh, oui ! Quelques contrées profitent déjà du Messenger tout court. Pour la phase test de cette stratégie, le Venezuela, le Pérou, le Canada ainsi que les États-Unis ont été les premières cibles.

L’Europe devra encore patienter

La scission des deux applications ne touche pas encore la zone européenne. Mais pour les pays concernés, plus besoin de Facebook et ses innombrables fonctionnalités pour discuter avec ses proches. La seule requête est d’entrer son numéro de téléphone pour activer un compte 100 % Messenger.

Le but de Facebook ? Il semble que Mark Zuckerberg et ses collaborateurs désirent toucher un nouveau marché. Le but est de convier un tout nouveau type d’utilisateurs à s’inscrire sur Messenger, car il est maintenant évident que beaucoup ne souhaitent pas partager étaler leur vie sur le réseau social numéro un. Si la stratégie se montre fructueuse, on pourra en donner l’accès au reste du monde. Ceux qui restent sur Facebook par dépit pourront désactiver leur compte pour migrer vers le tout nouveau Messenger.

Facebook veut écraser Twitter

Cette manœuvre, en plus de maintenir Facebook à sa place de leader, pourrait le transformer en monopoleur sur le marché des réseaux sociaux. Evan Williams voit déjà ce projet d’un mauvais œil. Son aboutissement potentiel conduirait effectivement Messenger à engloutir les parts de marché de son précieux Twitter. Si les résultats dégagés dans les premiers pays cibles se révèlent positifs, il est certain que Facebook fera pencher la balance en sa faveur.

Publié le 02/09/2015 par Marc Blog, Facebook

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